mercredi 24 août 2011

LES DIAMANTS DU SANG ,?????

En 2007
J'avais salué le processus de Kimberley
Il paraissait honnete, j'en suis moins sur, donc je ne puis cautionner ce processus si les doutes sont avérés.




Le Canada rejette la déclaration sur les diamants du Zimbabwe

(Nº 181 - Le 24 juin 2011 - 22 h 00 HE) Le ministre des Affaires étrangères du Canada John Baird a annoncé aujourd’hui que le Canada rejette une déclaration faite par le président du processus de Kimberley.

Selon un avis administratif incorrect émis en fin de journée hier, un compromis aurait été réalisé lors la réunion interssessions du processus de Kimberley qui s’est déroulée du 20 au 23 juin 2011 à Kinshasa, au sujet de l’exportation de diamants en provenance des gisements de Marange au Zimbabwe.

« Contrairement à ce qu’affirme l’avis du président, certaines questions importantes n’ont pas été résolues. Le Canada, tout comme d’autres pays aux vues similaires, n’a pas approuvé la proposition soumise par le président, a déclaré le ministre Baird.

« L’avis a été émis en violation des règles et procédures du processus de Kimberley. Nous avisons l’industrie diamantaire canadienne de ne pas faire le commerce des diamants de Marange.

« À la suite de la répression brutale menée par les militaires du Zimbabwe contre les mineurs en décembre 2008, le Canada continue d’appeler à la supervision des exportations de diamants des deux mines de Marange et à des modalités de surveillance crédibles. Le Canada refuse d’accepter le plan de certification des diamants du Zimbabwe tant que de tels mécanismes n’auront pas été mis en place.

« Les intérêts de tous les pays producteurs de diamants sont menacés si le processus de Kimberley est rendu inefficace. Le Canada poursuivra ses efforts pour éliminer les faiblesses fondamentales du processus et trouver une solution crédible et satisfaisante pour toutes les parties.

« Le commerce des diamants de Marange doit profiter à toute la population du Zimbabwe. Pour avancer dans cette direction, il faut s’assurer que les diamants sont certifiés de manière appropriée et crédible dans le cadre d’un processus de Kimberley rigoureux.»









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